Il y a Evelyne qui aime Albert, qui aime Arthur, qui aime la fille qui fait l’actrice, qui aime l’homme qui conduit le cabriolet. Il y a la nuit qui n’aime qu’elle-même, et puis la mort qui n’aime qu’une fois. Il faudrait plus de souffle pour embrasser tout le monde et plus de temps pour ne vexer personne.